Bataille judiciaire en vue sur les caricatures de Mahomet
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Bataille judiciaire en vue sur les caricatures de Mahomet
La controverse sur les caricatures du prophète Mahomet publiées par
l'hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo va passer sur le terrain
judiciaire dans un climat de forte tension en France et dans le monde
sur la question du blasphème religieux.
Le gouvernement français a placé les locaux de l'hebdomadaire
sous protection et pris des mesures de sécurité dans ses écoles et
locaux diplomatiques dans 20 pays. Ils seront fermés, vendredi, jour de
prière musulmane.
Un homme de 18 ans vivant à Toulon (Var) qui voulait se rendre à
Paris pour s'en prendre aux auteurs des caricatures au siège de Charlie
Hebdo a été placé en garde à vue, a-t-on appris de source judiciaire. Il
a été dénoncé par un proche.
L'Union des organisations islamiques de France (UOIF), jugée
proche de l'idéologie des frères musulmans, majoritaire au sein du
Conseil national du culte musulman, a annoncé son intention d'engager
une procédure, a priori pour "incitation à la haine raciale". Cette
démarche sera officialisée dans la journée de jeudi, a dit un
porte-parole.
Une autre plainte, déposée en Seine-et-Marne par l'Association
des musulmans de Meaux, va être transmise au parquet de Paris, a indiqué
jeudi une porte-parole.
Mercredi, une plainte avait été déposée à Paris par l'Association
syrienne pour la liberté mais le parquet étudie sa recevabilité.
Une demande de manifestation samedi devant la Grande mosquée de
Paris a été refusée, a dit la préfecture de police. Toute infraction est
passible de 7.500 euros d'amende et six mois de prison.
L'initiative de l'hebdomadaire satirique, dont les locaux avaient
été incendiés en 2011 après une polémique similaire, intervient dans un
contexte troublé par un film islamophobe, à l'origine d'une flambée de
violences, souvent provoquées par des groupes extrémistes, dans le monde
musulman.
Le gouvernement français, tout en défendant le principe
constitutionnel de liberté d'expression, a mis en avant une nouvelle
restriction qui ne figure pas dans la loi. Selon lui, cette liberté doit
s'exercer dans la "responsabilité", ce qui sous-entend qu'il faudrait
la modérer en période de tensions
l'hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo va passer sur le terrain
judiciaire dans un climat de forte tension en France et dans le monde
sur la question du blasphème religieux.
Le gouvernement français a placé les locaux de l'hebdomadaire
sous protection et pris des mesures de sécurité dans ses écoles et
locaux diplomatiques dans 20 pays. Ils seront fermés, vendredi, jour de
prière musulmane.
Un homme de 18 ans vivant à Toulon (Var) qui voulait se rendre à
Paris pour s'en prendre aux auteurs des caricatures au siège de Charlie
Hebdo a été placé en garde à vue, a-t-on appris de source judiciaire. Il
a été dénoncé par un proche.
L'Union des organisations islamiques de France (UOIF), jugée
proche de l'idéologie des frères musulmans, majoritaire au sein du
Conseil national du culte musulman, a annoncé son intention d'engager
une procédure, a priori pour "incitation à la haine raciale". Cette
démarche sera officialisée dans la journée de jeudi, a dit un
porte-parole.
Une autre plainte, déposée en Seine-et-Marne par l'Association
des musulmans de Meaux, va être transmise au parquet de Paris, a indiqué
jeudi une porte-parole.
Mercredi, une plainte avait été déposée à Paris par l'Association
syrienne pour la liberté mais le parquet étudie sa recevabilité.
Une demande de manifestation samedi devant la Grande mosquée de
Paris a été refusée, a dit la préfecture de police. Toute infraction est
passible de 7.500 euros d'amende et six mois de prison.
L'initiative de l'hebdomadaire satirique, dont les locaux avaient
été incendiés en 2011 après une polémique similaire, intervient dans un
contexte troublé par un film islamophobe, à l'origine d'une flambée de
violences, souvent provoquées par des groupes extrémistes, dans le monde
musulman.
Le gouvernement français, tout en défendant le principe
constitutionnel de liberté d'expression, a mis en avant une nouvelle
restriction qui ne figure pas dans la loi. Selon lui, cette liberté doit
s'exercer dans la "responsabilité", ce qui sous-entend qu'il faudrait
la modérer en période de tensions
الموضوع الأصلي : Bataille judiciaire en vue sur les caricatures de Mahomet
المصدر : ملتقى الجزائريين والعرب
الزعيم- المـديـر العـــام
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